Le Laboratoire du geste, vous recommande REGEN AU THÉÂTRE DE GENNEVILLIERS, en Avril prochain :
3 collectifs y seront présentés : DAS PLATEAU/IRMAR/ Chiens de Navarre
Du 27 mars au 1er avril : Notre Printemps par le collectif Das Plateau.
« […]La confrontation sur scène du théâtre, de la danse et du cinéma vient provoquer un trouble entre présent, passé, réel, fantasmes : Das plateau continue ici sa recherche d’un théâtre de l’âme, d’un réel perçu et retravaillé par l’esprit humain et par la psyché » La presse en parle « […]Vidéo, matière sonore, objets usuels et textures diverses peuplent l’univers de ce collectif résolument moderne. » Maité Rivière dans Mouvement.net
Du 31 mars au 7 avril : Le Fond des Choses : Outils, Œuvres et Procédures par l’IRMAR (Institut de recherches menant à rien).
Présentation de la pièce par Tanguy Viel : Elles ne mènent à rien mais explorent tout : les recherches de l’IRMAR nous posent au coeur des choses, là où objets, sons, figures nous inquiètent de leur présence… ou de leur absence, toujours au bord d’un vide qui ferait trembler ensemble Marcel Duchamp et Samuel Beckett.
Quelques mots de la presse sur leur précédent spectacle intitulé Du Caractère relatif de la présence des choses.
« […] Là où les artistes Rodrigo Garcia et Jan Fabre nous dégueulent dessus pour dénoncer la société de consommation, les metteurs en scène Victor Lenoble et Mathieu Besset convoquent la poésie pour donner au spectateur la ressource d’échapper à ce déluge de modernité. » Pascal Bely dans le Festivalier.net « […]Car chez Irmar, l’inanimé est maître de cérémonie. Les choses, dont la présence relative est ici questionnée, structurent le récit et l’espace, s’organisent en une géométrie élémentaire rappelant les lignes de l’art minimal. A croire que le rien, le vide, exploré inlassablement par le groupe Irmar, conduit bien à « quelque chose », à une réflexion sur l’illusion du spectacle ou plus certainement encore, à une poésie des plus envoutantes. » Celine Piettre dans Paris Art
Du 6 au 12 avril : Nous avons des machines , dernière création du collectif Les Chiens de Navarre.
Une des particularités de leur travail réside dans le travail d’improvisation, une forme qu’ils veulent « indomptable » : « Nous croyons qu’il faut toujours prendre le parti de suivre son mouvement [de l’improvisation] plutôt que l’acquis du récit. Car le geste doit rester vivant, toujours. Il ne doit pas mourir. Le récit s’invente, se constitue à même le plateau. Ensuite nous discutons, nous analysons ce qui s’y est passé. La pensée dramaturgique reprend sa place. Le travail n’est donc jamais figé. La représentation n’est que le prolongement des répétitions sans point d’achèvement. » La presse en parle :
« […]ils creusent ici cet entre-deux, entre être et jeu, absence et sur-jeu. Interroger le fait d’être sur scène est le sel de leur engagement. Selon ce critère, le prélude de Nous avons les machines s’impose comme le quart d’heure pleinement réussi. Télérama 11/02/2012 « Avec ses collages théâtraux semblables aux cadavres exquis surréalistes et sa posture trash, la bande s’ingénie à faire rire en hachant menu le bon goût et les codes de la représentation théâtrale. » Patrick Sourd dans les Inrocks
THEATRE DE GENNEVILLIERS 41 avenue des Grésillons - F 92230 Gennevilliers INFORMATIONs